Fenêtre et pas de porte
Séminaire proposé par Jean-Michel Arzur et Alexandre Faure
Trompe l’oeil
Pour conclure cette année de séminaire, je repartirai de la discorde des années 50 entre Lacan et Bouvet à propos de la relation dite d’objet afin de montrer comment le mésusage du fantasme conduit à une mise en cause des fondements mêmes de la psychanalyse.
Jean-Michel Arzur
En fichier joint en guise de bibliographie :
Maurice Bouvet : Importance de l’aspect homosexuel du transfert dans le traitement de quatre cas de névrose obsessionnelle masculine (1948)
Maurice Bouvet : Incidences thérapeutiques de la prise en compte de l’envie de pénis dans la névrose obsessionnelle féminine (1950)
Maison des Associations 6, Cours des Alliés à Rennes,
(Métro Ligne a, Arrêt Charles de Gaulle)
Et par visio-conférence, les mardis à 21h
Le séminaire est accessible aux inscrits du CCPO et ouvert au public moyennant un droit d’entrée pour les non-inscrits au CCPO (30€ sur HelloAsso)
- Mardi 14 mai 2024
- Mardi 4 juin 2024
Argument :
« Il n’y a pas d’autre entrée pour le sujet dans le réel que le fantasme[1]. »
En prenant cette phrase comme point de départ, comment démontrer que « la valeur de la psychanalyse, c’est d’opérer sur le fantasme[2] » ? Lacan de poursuivre « Le degré de sa réussite a démontré que là se juge la forme qui assujettit comme névrose, perversion ou psychose. » Quelles sont les conséquences de cette thèse sur la pratique de la psychanalyse ?
[1] Lacan J., « Compte rendu du séminaire 1966-1967, La logique du fantasme », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 326.
[2] Lacan J., « Allocution sur les psychoses de l’enfant », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 366.
- Date(s) : 14/05/2024
- Horaires : 21h00 - 23h00
- Lieu : Maison des Associations 6 cours des Alliés Rennes
- Tarif plein : 30 €