Intervention prononcée dans le cadre de l’après-midi inter-cartels, à Rennes le 1er octobre 2016.
En préambule, je tiens à remercier Paula Damas et Véronique Maufaugerat pour l’organisation de cette après-midi dite « inter-cartels » ; après-midi où la parole est laissée aux productions de chacun, prises dans ce dispositif au nom étrange de « cartel ». S’il est important d’en entendre les productions sous la forme du témoignage, il l’est tout autant que de remettre au centre de l’Ecole et du pôle, le fonctionnement de cet « organe de base(1) » pour qu’il ne prenne la poussière de la routine.
Mais d’ailleurs, pourquoi parlons-nous de cartel ? Qu’est-ce que c’est que ce truc qui semble aller de soi ? Est-ce utile voire indispensable ? J’entends souvent dans mon entourage, « T’es en cartel toi ? », « J’ai envie de me mettre en cartel, mais je ne sais pas trop ce que c’est, ce qu’on y fait. » Ou alors, « Tu fais quoi ce soir ? J’ai basket et toi ? Moi j’ai cartel. » C’est un peu moins fédérateur, convenez-en. Quoi que ! Colette Soler dans son texte Le cartel et lien d’Ecole(2), propose de questionner ce qu’elle nomme ce « besoin de cartel ». Avons-nous donc à faire au cartel comme à un habitus pour qui s’inscrit d’un travail analytique, à la hauteur d’un sport collectif ou de la sortie de la semaine ?
Y-a-t’il une spécificité de ce petit groupe quant à la question du désir ? C’est pour cela que je propose d’en questionner son fonctionnement en partant de l’expérience que j’en fais – qui ne vaut que de ce qu’elle est, expérience.
La voici. Nous voilà donc à la mesure de cinq, bien embarrassés par cette question du « plus-un » qui nous semblait, pour autant, indispensable à la déclaration d’un cartel. Quelque chose insistait pour nous dire qu’il fallait choisir parmi les cinq car personne ne souhaitait faire appel à quelqu’un d’autre. Il en fallait un qui se soustraira à cette fonction. Voilà donc nos cinq noms mis dans un chapeau ; le dernier restait serait ainsi désigné. Autant dire que là, nous ne le choisissions pas, mais le soumettions à la catégorie du hasard. Coup du sort, ou du chapeau, mon nom reste en travers. Premières fois que je jouais avec l’envie de ne surtout pas gagner, quoi que. Drôle de jeu donc. Là, en l’occurrence, je me voyais bien embarrassé par ce machin qui s’imagine souvent occupé par les autres ; un truc réservé aux autres, à ceux qui en sauraient un bout de plus. Mais qui sauraient quoi ? Je ne savais pas trop. De cette question du savoir, Lacan en dira un bout lorsqu’il répond à Solal Rabinovitch : « C’est ça le « plus-une »… ? Celui qui ne comprend rien ? Pourquoi pas ? (Rires)(3) » En tous les cas, à quoi tient la question du savoir dans le rapport à cette fonction, d’abord au féminin, de « plus-une » ? Serait-on alors toujours la personne plus-une de quelques-uns ?
Cartel, cardo, gond : espace charnière
Ces petits groupes ont été créés en 1964 dans le même temps que l’Ecole Freudienne de Paris, et resteront après sa dissolution en 1980 – pour la mise en branle de la Cause Freudienne. Dans L’acte de fondation, il est indiqué que le cartel est le seul lieu où peut s’accomplir et s’exécuter un travail. « Pour l’exécution du travail, nous adopterons le principe d’une élaboration soutenue dans un petit groupe(4). » Lacan met ainsi l’accent sur la production d’un travail psychanalytique qui se pose en réaction aux déviations, aux compromissions et au tarissement du travail qu’il constate à l’époque dans les sociétés psychanalytiques. En 1964, la fondation de l’Ecole se prévalait, au moyen du cartel, d’examiner la psychanalyse, sa pratique et ses conséquences cliniques, à plusieurs.
Le choix signifiant de ce groupe, cartel, découle de cardo, le gond. Lacan faisant confiance à chacun pour y voir ce qu’il veut dire(5). J’aime assez cette métaphore du cartel comme gond, charnière, articulation sur quoi repose l’ouverture et le battement de l’Ecole, car un gond ça travaille, mais ça peut aussi s’enrailler ; point de tension sur lequel s’appuie l’ouverture et la fermeture d’une porte, souvent à la mesure de trois. Comme à mon habitude qui consiste à triturer le signifiant pour en chercher le signe qui se cache dessous, je suis allé voir ce qui s’y tramait. Je retiens ici que le cardo trouve un écho dans la centuriation romaine. Le Cardo maximus est la voie principale d’une ville romaine, donnant l’orientation nord-sud. Dès sa création, le Cardo structure l’espace de la cité, autour duquel va se développer la vie publique et économique. Etrange coïncidence tout de même en voyant que son étymologie résonne avec la place que Lacan souhaitait donner au cartel au sein de son Ecole : fondation et organe de base. Je vous le donne en mille – car ils étaient mille en 1980 au moment de la dissolution – : à la croisé du Cardo maximus et du Decumanus – l’axe est-ouest –, se trouvait le forum, cet espace où se débattaient les affaires politiques et publiques.
Revenons à l’exécution du travail que Lacan met au cœur de son Ecole et approchons la nature même de ce travail. « Pour l’exécution du travail, nous adopterons le principe d’une élaboration soutenue dans un petit groupe. Chacun d’eux (nous avons un nom pour désigner ces groupes) se composera de trois personnes au moins, cinq au plus, quatre est la juste mesure. PLUS-UNE chargée de la sélection, de la discussion et de l’issue à réserver au travail de chacun(6). » Il est donc exposé de manière clair, dès l’Acte de fondation, la constitution des cartels, son fonctionnement, son but – la production – et sa fin qui lui confère une portée limitée dans le temps. Soulignons aussi la taille réduite du groupe(7) dans « cette juste mesure », n’entendant pas proposer une solution universelle pour la masse indifférenciée. Et l’on arrive à ce qui m’intéresse tout particulièrement, à savoir cette fameuse « plus-une personne » – qui, je le souligne à nouveau, est d’abord employée au féminin.
« Plus-une personne »
Il y a dans ce bidule qu’est la « plus-une personne » quelque chose qui a été placée pour éveiller un questionnement et qui n’est pas sans faire écho à la dynamique intrinsèque à toute constitution de groupe. Le cartel est tout de même un groupe social d’une structure originale. Ici, pas question que ce quelqu’un soit en plus, car le sujet est toujours « un en plus », mais il s’agit bel et bien de « plus-un ». Est exclu d’emblée que cette charge d’économie groupale, de direction constitue une « chefferie(8) » : pas de petit chef ou de grand maître. Par rapport à cette question du chef, je propose de repartir d’un texte datant de 1947, La psychiatrie anglais et la guerre.
Dans l’après coup, c’est un texte qui me paraît central quant à la tension, à l’articulation du singulier et du collectif pour la psychanalyse. M’avançant, je pense que le sujet traité n’est pas sans avoir influencé Lacan dans la constitution même du dispositif du cartel, comme analogon du petit groupe.
Avec étonnement, on découvre une théorie lacanienne de l’appréhension du groupe. Lacan insiste sur ce qu’il identifie dans le groupe, à savoir ces mêmes modes de défenses que l’individu utilise contre son angoisse (sic.). La dimension collective devenant analogue à celle du sujet. Mais pourquoi ? Précisément en ce qu’elle devient interprétable !
J’invite chacun à le relire, mais je plante le décor : à la veille de la seconde guerre mondiale, l’Angleterre se trouve confrontée à un problème d’effectif quant à son armée de métier – étant opposée à la conscription. C’est à ce moment-là que la jeune science psychologique est appelée à la rescousse afin de créer une armée synthétique subordonnée au groupe. La question posée à la psychiatrie anglaise était : comment parvenir à créer une armée homogène, sans manifestations symptomatiques du sujet ? Sans que certains sujets ne manifestent une aversion au collectif ou toutes « impulsions d’ordres compensatoire » ? Il est donc mis en place un véritable « appareil de sélection psychologique(9) », mais également, pour Bion et Rickmann, la charge des compagnies de disciplines.
La méthode de Bion pour ces compagnies disciplinaires est plutôt simple : « […] il va être formé un certain nombre de groupes qui se définiront chacun par un objet d’occupation, mais ils seront entièrement à l’initiative des hommes, c’est-à-dire que chacun non seulement s’y agrègera à son gré [sur son désir donc], mais pourra en promouvoir un nouveau selon son idée, avec cette seule limitation que l’objet en soit lui-même nouveau […](10) » Et nous voilà avec une véritable « cure de groupe », note Lacan, à partir du moment précis où l’auto critique survient, faisant émerger des questions quant au groupe lui-même – ce qu’on pourrait épingler du côté d’un effet de coupure, de division : la question. Cette cure visait l’élaboration d’un « esprit de groupe », synonyme de ce que Lacan pointe dans la première partie du texte : l’identification horizontale. Bion réintègre ainsi l’égalité auprès des membres, endossant lui-même le rôle de chef et épinglant comme ennemi commun leurs propres aversions à l’identification verticale – référence explicite faite ici à Freud. Rapidement apparaissent les « premiers appels à l’autorité » que Bion, avec la patience ferme du psychanalyste, renvoie la balle aux intéressés (sic.). Autrement dit, il leur retourne la question, que Lacan relève du côté d’une posture d’interprétation.
A partir de cette expérience de groupe, Lacan pointe la difficulté majeure du sujet névrosé en groupe : « […] si l’on peut dire que le névrosé est égocentrique et a horreur de tout effort pour coopérer c’est peut-être parce qu’il est rarement placé dans un milieu où tout membre soit sur le même pied que lui en ce qui concerne les rapports avec son semblable(11). » Colette Soler propose « l’asociabilité du névrosé » comme impasse structurale. Ceci est une autre façon de traiter de la question de l’identification horizontale, l’identification à ses pairs et non à l’idéal.
Dans le déroulement du texte La psychiatrie anglaise et la guerre, est également exposée l’expérience dite du « groupe sans chef ». Les membres du groupe sont réunis autour d’une tâche : répondre à un objectif dont la difficulté est élevée, sans chef. On observe que chaque membre peut se passer de la nécessite d’une fonction de chef, à condition que cette fonction soit incarnée de manière permutative. Par conséquent, cette fonction émerge tout autant dans ce type de groupe, mais différemment : n’étant pas incarnée, chacun y prend place de manière alternative.
Je me suis ainsi demandé dans quelle mesure cette « plus-une personne » n’était pas la nomination d’un effet inhérent au groupe : l’apparition d’un leader(12) et la nécessité qu’il y en ait au moins un de nommé ?
« […] ce « plus un » est toujours réalisé [ce n’est donc pas qu’un signifiant, mais bel et bien quelqu’un], il y a toujours quelqu’un qui fans un groupe, au moins pour un moment, c’est déjà heureux quand la balle passe, qu’au mois pour un moment on tient la balle, et dans un groupe, surtout un groupe petit comme ça, habituellement, c’est le cas de le dire, c’est un habitus, habituellement c’est toujours le même et c’est à ça qu’on se résout sans en mesurer les conséquences, je dirais que tout le monde est très heureux qu’il y en ait un qui fasse ce qu’on appelle comme ça couramment le leader, celui qui conduit, le Führer(13). »
Le lien social
Pouvons-nous entendre cette « plus-une personne » comme la nomination d’un effet réel du groupe ? Au moins ce truc-là est nommé, et cela permet de le faire fonctionner, sans être dupe de ce que cela entraîne sur l’axe imaginaire. De plus, s’il tend aujourd’hui à devenir signifiant maître, on constate à l’époque un décalage sémantique du leader, du chef sachant au plus-un, inférant un écart dans l’énigme de sa dénomination. Le plus-un permet-il par ce mouvement, de réactualiser la question de la formation et de la dynamique des petits groupes ? Reste à savoir comment chacun s’en arrange, et le plus-un lui-même.
Une chose est sûre, c’est que pour moi, ça n’allait et ça ne va toujours pas de soi. Et pourtant, j’insiste, Lacan en fait une conséquence du groupe ; dès qu’on se réunit à plusieurs personnes, ça fait quelque chose. Peut-être pas « plus-un » de manière systématique mais ça fait quelque chose. Le plus-un est-il ainsi spécifique à la constitution du cartel, conduisant au fait qu’on ne puisse pas s’en débarrasser en évinçant simplement sa question ?
Cette fonction ne semble pas non plus le parangon d’un service rendu à l’Ecole auprès de laquelle se capitaliserait une carte de fidélité pour accéder à un grade supérieur ; n’y attendez pas de permis de conduire ou d’habilitation à le faire passer. Nullement question de grade donc, et pour éviter cet écueil Lacan instaure la nécessité que cela puisse tourner – la fameuse fonction permutative du groupe sans chef. Le plus-un devant réintégrer le travail de base à un moment ou l’autre. Et heureusement que ça s’arrête, sinon on pourrait s’y croire ; s’y croire en tant qu’identifié à la fonction. Ce qui fait la fonction, s’est d’induire un style analytique qui n’est pas le discours analytique ; style, en tant qu’il est là pour interpréter ce qui s’y joue, pour éviter que le groupe se paralyse autour d’enjeu collectifs.
Dans son intervention Monsieur A. du 18 mars 1980, séance du séminaire Dissolution, Lacan affirme qu’un écueil guette pourtant le groupe : l’effet de colle. Même effet qui le conduit à la dissolution de l’Ecole Freudienne de Paris, parlant à l’occasion de d’écolage. Il en ressort que le cartel est aussi, dans sa limite temporelle puisqu’il ne faut pas oublier la limite, une mise en garde de l’effet d’engluement. « […] N’importe qui avec n’importe qui. C’est l’effet qu’il s’agit d’obtenir, mais à terme : que ça tourbillonne ainsi(14). »
Le plus-un est alors nécessaire au fonctionnement du groupe, puisqu’il se tient garant de son terme, de sa limite – autre nom de la castration – au risque que ça puisse coller. Paradoxe d’ailleurs que les psychanalystes, si esseulés dans leur cabinet, mise sur cette forme de lien social, « jamais sorti jusqu’à présent(15). »
L’identification au groupe
A la suite des premières journées des cartels de l’Ecole Freudienne de Paris tenues en avril 1975, nous trouvons dans le Séminaire R.S.I., une indication quant à ce que vise Lacan. Par le cartel, il souligne que ses membres sont tous sur le même pied d’égalité, sans question de grade.
« Ce que je souhaite, c’est quoi : l’identification au groupe. Parce que c’est sûr que les êtres humains s’identifient à un groupe. Quand ils ne s’identifient pas à un groupe, ben ils sont foutus, ils sont à enfermer. Mais je ne dis pas par-là à quel point du groupe ils ont à s’identifier. Le départ de tout nœud social se constitue, dis-je, du non rapport sexuel comme trou. Pas de deux : au moins trois, et ce que je veux dire, c’est que même si vous n’êtes que trois, ça fera quatre(16). »
Déjà, l’on peut dire que Lacan se place en opposition à cette identification au moi fort de l’analyste qui assortirait des cures. Identification non pas à un moi idéalisé, mais au groupe ; identification qui n’est pas non plus celle à l’Ecole qu’il critique dans Que la lumière soit, cinq ans plus tard. « L’école ce n’est pas moi », donc pas non plus l’identification à l’Ecole.
Ce lien social, que la psychanalyse dégage, s’oriente de cette question : « Est-ce que l’analyste doit rester un isolé, pourquoi pas(17) ? » Dans cette identification au groupe, « il s’agit que chacun s’imagine être responsable du groupe(18) ». Comment entendre alors cette identification au groupe de quelques-uns faisant pied de nez à l’identification à l’idéal à laquelle pousse la masse ?
Si ça ne cesse de tourner, de tourbillonner – ce petit groupe –, c’est une infinité de possibilité de formation qui s’offre à chacun ; infinité qui tend à s’excepter par la logique plus-une qui fait fonctionner la dimension de la limite. Qu’est-ce que serait alors cette identification au manque de l’autre ? Lacan, en conclusion de sa leçon du 15 avril 1975, donne la passe à prendre du côté du désir de l’hystérique comme la troisième possibilité de l’identification ; le désir comme autre événement d’identification.
Les références à Freud sont nombreuses lorsque Lacan avance le terme d’identification. Dans Le malaise dans la culture, Freud mentionne que les individus puissent être rattachés les uns aux autres par le lien de la communauté de travail et d’intérêts. N’est-ce pas ce qui nous réunit ici ?
Ce petit groupe qu’est le cartel possède ainsi une réalité historique, psychiatrique et psychanalytique que Lacan fera fonctionner logiquement. Il peut alors être entendu comme une nécessité logique, une réponse symptomatique à ce qui guette le tarissement du travail analytique. Par conséquent il peut être interprété. Aux côtés de ce que Marie Jean Sauret et quelques autres nomment la mutation contemporaine éventuelle du lien social, pouvons-nous espérer que le cartel, et de ce qu’on lit de son expérience, fasse objection au discours biopolitique moderne ? Ceci n’allant pas sans ce pari qui consiste à maintenir vive et vivante la théorie analytique dans cette forme inédite du lien social, à la lumière de Lacan. Voici peut-être à quoi nous invite ce bidule. « Oui, nous avons à réinventer la psychanalyse – parce que la psychanalyse est le processus par lequel la psychanalyse se renouvelle – et rien d’autre(19). »
(1) LACAN J., Séminaire Dissolution, D’écolage, 11 mars 1980, inédit.
(2) SOLER C., Le cartel et le lien d’Ecole, in Mensuel, octobre 2016, n°108, p.56.
(3) Interventions dans la séance de travail sur : du « plus-une », in Journée des cartels de l’Ecole freudienne de Paris, Maison de la chimie, Paris, parues dans Les Lettres de l’Ecole freudienne, 1976, n°18, p.226.
(4) LACAN J., Acte de fondation, in Autres écrits, avril 2001, Paris : Editions du Seuil, p. 229.
(5) Interventions dans la séance de travail sur : du « plus-une », in Journée des cartels de l’Ecole freudienne de Paris, Maison de la chimie, Paris, parues dans Les Lettres de l’Ecole freudienne, 1976, n°18, p.221.
(6) LACAN J., Acte de fondation, in Autres écrits, avril 2001, Paris : Editions du Seuil, p. 229.
(7) Dans quelle mesure Lacan était-il un lecteur de Kurt Lewin qui, en 1944, soulignait à propos de la dynamique des groupes que les phénomènes positifs de groupe n’apparaissaient qu’à partir de quatre personnes ?
(8) Interventions dans la séance de travail sur : du « plus-une », in Journée des cartels de l’Ecole freudienne de Paris, Maison de la chimie, Paris, parues dans Les Lettres de l’Ecole freudienne, 1976, n°18, p.220.
(9) LACAN J., La psychiatrie anglaise et la guerre, in Autres écrits, avril 2001, Paris : Editions du Seuil, p.101-120.
(10) Idem.
(11) Idem.
(12) Cf. Milgram dans son expérience dite de la soumission à l’autorité, et Blake & Mouton autour de l’intérêt du responsable dans la production.
(13) Interventions dans la séance de travail sur : du « plus-une », in Journée des cartels de l’Ecole freudienne de Paris, Maison de la chimie, Paris, parues dans Les Lettres de l’Ecole freudienne, 1976, n°18, p.224.
(14) LACAN J., Séminaire Dissolution, Monsieur A., 18 mars 1980, inédit.
(15) LACAN J., Séminaire Dissolution, D’écolage, 11 mars 1980, inédit.
(16) LACAN J., Séminaire Livre XXII, R.S.I., inédit, séance du 15 avril 1975.
(17) Interventions dans la séance de travail sur : du « plus-une », in Journée des cartels de l’Ecole freudienne de Paris, Maison de la chimie, Paris, parues dans Les Lettres de l’Ecole freudienne, 1976, n°18, p.246.
(18) LACAN J., Séminaire Livre XXII, R.S.I., inédit, séance du 15 avril 1975.
(19) SAURET M. J., « Sujet, lien social, seconde modernité et psychanalyse», in Essaim, 2010, n°25, p.55.