Pour la psychanalyse, est-il possible de penser ce qui fait l’homme sans l’inscrire entre père et fils[1] ? Il n’y a de virilité que par procuration des ancêtres soulignait Lacan. Un homme ce n’est rien d’autre qu’un signifiant, soit un semblant, c’est-à-dire un signifiant imaginarisé, notre seul accès au symbolique, comme les superstitions attachées aux chiffres ou Rimbaud avec son sonnet Voyelles en témoignent.
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Versions du père
Que reste-t-il ?
Article paru dans la revue PLI n° 8 (revue de psychanalyse de l’EPFCL-France pôle Ouest) à partir d’une intervention prononcée au Collège de Clinique Psychanalytique de l’Ouest sous le thème « Perversion polymorphe » à Rennes le 12 janvier 2013
Que reste-t-il de la perversion polymorphe chez l’adulte ? […]
La père-version
Article paru dans la revue PLI n° 8 (revue de psychanalyse de l’EPFCL-France pôle Ouest)
J’ai choisi de partir aujourd’hui de deux remarques, bien connues, faites par Freud dans ses lettres à Fliess, qui me semblent essentielles au thème que nous avons décidé de traiter cette année dans les collèges cliniques. […]