Lire me questionne et me fait répondre. Lire avec d’autres multiplie les questions, les réponses, et cause parfois le désir de répondre mieux, de répondre plus juste. C’est ce qui s’est passé avec ce texte de Lacan : Réponse au commentaire de Jean Hyppolite sur la Verneinung de Freud[1], que nous avions mis à la question, Alexandra Boissé, Cyril Vybiral, moi-même et quelques autres, à l’atelier de lecture « Interlignes ». […]