Je commence par cette phrase de Lacan qui sera le fil de mon intervention[1]. Dès le début de son enseignement, en 1953, Lacan noue le singulier et le pluriel dans la psychanalyse : « La terminaison de l’analyse est celle du moment où la satisfaction du sujet trouve à se réaliser dans la satisfaction de chacun, c’est à dire de tous ceux qu’elle associe dans une œuvre humaine. […]
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