Freud et Lacan se sont souvent référés à des figures littéraires pour rendre compte de ce qui se joue dans la psychanalyse, à commencer par l’Œdipe de Sophocle. La raison en est que, comme le souligne Lacan, c’est sur le plan de l’inconscient qu’une œuvre nous touche[1]. Ce qui suppose que le récit littéraire a la même structure de fiction que l’inconscient.
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Nom-du-Père
Que reste-t-il ?
Article paru dans la revue PLI n° 8 (revue de psychanalyse de l’EPFCL-France pôle Ouest) à partir d’une intervention prononcée au Collège de Clinique Psychanalytique de l’Ouest sous le thème « Perversion polymorphe » à Rennes le 12 janvier 2013
Que reste-t-il de la perversion polymorphe chez l’adulte ? […]
Désabonnement à l’inconscient
Article de Claude Léger publié dans PLI n° 3 (Revue de psychanalyse de l’EPFCL-France Pôle Ouest) à partir d’une conférence prononcée à Rennes en janvier 2008, dans le cadre du Collège de Clinique Psychanalytique de l’Ouest.
La mise en question lacanienne de l’Œdipe
Article de Sol Aparicio paru dans la revue PLI n° 3 (revue de psychanalyse de l’EPFCL-France Pôle 9 Ouest). Texte réécrit à partir de la conférence prononcée au Collège Clinique de l’Ouest le 17 juin 2006 et d’une intervention faite à l’École de Psychanalyse Sigmund Freud (EPSF) le 23 mai 2007.
La religion : un possible Nom-du-Père ?
« Il n’y rien de plus naturel, dans les circonstances présentes que le recours à Dieu. Rien de plus naturel, parce que la terre tremble dans nos pays bénis, du fait de l’insoumission et de l’incompréhension des autres. Malheureusement, les missionnaires ont fait leur temps et les managers ne font pas le poids. […]