Pauline Dubuisson est condamnée aux travaux forcés à perpétuité le 18 novembre 1953 pour le meurtre de son amant Félix Bailly. Il s’agit ici du procès à charge d’une jeune femme qui, peut-on lire alors dans les chroniques judicaires de l’époque, n’agit que par son « désir de faire le mal ».