« Car je ne sache pas qu’après avoir donné tellement une connotation péjorative au fait de considérer l’autre comme un objet, quelqu’un ait jamais fait la remarque que de le considérer comme un sujet, çà n’est pas mieux. »[1]
Le thème de l’année Clinique différentielle des sexes, les récents évènements médiatiques engendrés par l’affaire Weinstein, et la lecture concomitante de Virginie Despentes sur les conseils toujours avisés de mon collègue et ami David Bernard sont à l’origine de ce travail autour de la question de la femme dîte objet dans son rapport à l’homme. […]